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caliban40280
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Sujet: Magic Showtime Sam 3 Aoû - 15:51
PREMIERE SAISON :
ÉPISODE NUMÉRO UN :
Samedi 20 avril 2013 : 02 heures 38.
SCENE 1 =
*L'action se passe dans le cimetière d'une petite bourgade, au niveau de la plus ancienne pierre tombale des lieux, près d'un immense chêne situé au sommet d'une colline. Le village se trouve à environ une quinzaine de kilomètres de la cité de Nottingham (comté de Nottinghamshire, ROYAUMES-UNIS) *Il pleut des cordes depuis des heures. Il y a de l'orage. Les grondements du tonnerre et les éclairs sont simultanés. Il fait 14°C. Un petit vent souffle. *Un 4X4 Mercedes, bleu-marine, modèle ML 270, est garé près de la pierre tombale. Une corde y est attachée, reliée au véhicule. Les phares sont éteints dans le but de ne pas être repéré depuis le village 200 m plus loin. *Présence de six individus : (tous délinquants) -Oliver : 30 ans, le chef du groupe l'opération et il éclaire les autres avec une lampe torche-électrique. -Matthew et Robin : 28 et 27 ans, creusent pour déterrer le corps d'un homme. -Perry : 29 ans, conduit le 4X4. Il a fait basculer la pierre tombale pour éviter qu'elle ne tombe dans le trou que creusent Matthew et Robin. -Peter et Douglas : 24 et 30 ans, ils attendent en retrait la fin de l'opération pour remettre la pierre ancienne en place. *Cela fait environ une demi-heure que le groupe est sur place. Ils portent des imperméables noirs. __________________________________________________________________________________
-Matthew : (essuie la sueur sur son front.) "Pfiouh ! Ils l'ont enterré à quelle profondeur ces cons ? J'ai pas qu'ça à foutre de la nuit moi." -Oliver : (d'un ton impatient.) "Ferme un peu ta grande gueule. J't'ai dis de creuser. Alors fais-le et vite."
(Matthew soupire avant de reprendre ses efforts avec Robin. Pendant ce temps, les trois autres hommes boivent chacun une bière.)
-Peter : (goguenard. Lève la bière comme pour porter un toast.) "A la vôtre les gars." -Matthew et Robin : (irrités, ton venimeux.) "TA GUEULE !"
(Peter éclate d'un rire gras avant de continuer à boire.)
-Matthew : (d'un ton furieux.) "Bande de connards. Z'êtes que des branleurs. J'me casse."
(excédé, Matthew sort du trou après avoir balancé la pelle. Aussitôt Oliver l'attrape par le col de l'imperméable et le secoue violemment.)
-Oliver : (voix glaciale, après avoir ramassé la pelle, il se penche en avant et murmure à l'oreille gauche de Matthew.) "Tu cherches vraiment les emmerdes ? Si tout ça te pose un problème, personne ne te retient ici. T'as qu'à retourner voler des bagnoles. Mais sache que tu pourras dire adieu à tes 100000 £. Ce type qui nous a contacté, Mr Bishop, est très très généreux. Alors si tu veux ton blé, t'as intérêt de causer moins (Oliver remet la pelle dans les mains de Matthew de façon brutale) et de creuser plus."
(Matthew grommelle puis saute dans le trou, cela fait gicler de la boue sur Peter. L'intéressé essuie son visage avec une grimace de dégoût. Matthew ricane et reprend sa besogne.)
-Matthew : (le tonnerre gronde ce qui oblige Matthew à élever la voix.) "N'empêche, t'auras beau dire c'que tu veux, mais on sait que dalle sur cet Amerloque. J'te parie tout ce que tu veux que cet enculé de *bip* va chercher à nous entuber et qu'on verra jamais notre ... ."
(Matthew s'interrompt alors que sa pelle semble avoir heurté quelque chose. Après deux autres pelletées, le cercueil apparait en partie. Robin pousse un soupir de soulagement. Il s'apprête à fracasser le couvercle en bois avec sa pelle. Oliver tend alors la main gauche en avant pour interrompre le geste de Robin.)
-Oliver : (ton irrité.) "Mais qu'est-ce que tu fous putain ? Les ordres de Bishop sont pourtant clairs. On doit tout laisser le plus intact possible." -Robin : (pousse un soupir exaspéré tout en enfonçant la tranche de la pelle dans la boue.) "De toute façon y a rien que des os là-dedans. Il veut en faire quoi ce Bishop ?" -Oliver : (hausse les épaules.) "Qu'est-ce que j'en sais tiens. C'est peut-être un ancêtre à lui, le corps d'un saint ou un truc du genre. De toute manière, vu le fric qu'on va en tirer, j'peux bien déterrer tous les cadavres que voudra ce type."
(environ dix minutes s'écoulent durant lesquelles Matthew et Robin dégagent entièrement le cercueil. Celui-ci est en bois d'if, sans ornement et semble en bon état malgré le temps passé sous terre. Dans le même temps, Douglas et Peter préparent la caisse hermétique où sera installé le sarcophage rectangulaire.)
-Oliver : (excité.) "Allé les gars, c'est bientôt terminé. On vérifie que le corps est là, on le fout dans sa nouvelle boîte, on remet tout en place bien comme il faut et ce soir on récupère notre pactole."
(en disant cela, Oliver a un grand sourire et se frotte les mains. Les cinq autres poussent des exclamations de joie. Matthew et Robin utilisent chacun un pied de biche, pour pouvoir retirer le couvercle sans trop l'endommager. On ne voit pas le corps mais tout à tour le visage stupéfié des six hommes. Les outils ont été donné par Peter. --> En même temps : Peter, Matthew et Robin.) -Peter : "C'est quoi c'te connerie ?" -Matthew : (s'écarte du cercueil.) "La vache !" -Robin : (Doug et lui se signent.) "Nom de Dieu de *bip*." -Oliver : (tente de se contrôler, il déglutit. Sa voix tremble légèrement.) "Ouais ... . Euh ... . Bon fermez-moi ça et mettez tout dans la caisse hermétique."
(le cercueil est donc dégagé du trou. Une fois placé dans le coffre de la voiture, tous poussent des soupirs de soulagement.)
-Oliver : (désigne le trou d'un signe de tête.) "Allez il est temps de tout remettre en place." -Matthew : (sort du trou et jette la pelle à Peter qui l'attrape.) "Marre de faire le sale boulot. T'as qu'à me remplacer le gosse."
(Le trou est vite rebouché, les hommes faisant du mieux qu'il peuvent. Ils tentent ensuite de redresser la lourde pierre tombale. Corde passe au-dessus d'une branche du chêne.)
-Oliver : (reste un peu à l'écart du véhicule, continuer à éclairer les autres.) "J'sais pas vous les gars mais j'ai qu'une hâte. Pouvoir me tirer loin de cet endroit."
(les hommes du groupe le regardent. Ils semblent éprouver un certain malaise.)
-Matthew : (lance un regard furieux autour de lui, tout en s'adressant à Oliver.) "Si tu bougeais un peu ton *bip* pour nous aider ça irait plus vite." -Oliver : (réplique d'un ton froid.) "Ne me manque pas d'respect. C'est moi le boss ici, alors si tu veux pas être enterré vivant ... ."
(Matthew ne dit rien. Au bout de quinze minutes la pierre est finalement remise à sa place. Les hommes rentrent rapidement dans le véhicule après avoir jeté les outils dans le coffre.)
-Oliver : (assit à l'avant côté passager. D'un ton enthousiaste.) "Et voilà les gars, vous allez pouvoir porfiter de votre dernière journée de pauvre. Car ce soir à Londres nous serons riche une fois que nous aurons laissé le corps à Bishop."
(Perry démarre ensuite le véhicule, avec l'accord d'Oliver il met les feux de position. Le véhicule s'éloigne lentement des lieux. On voit alors la pierre tombale de face. Une forme sombre et indistincte semble se dresser derrière la pierre. Puis on distingue deux yeux rouge qui semblent étinceler, suivi peu après par un grognement sauvage et menaçant.)
(Générique.)
Et voilà, je sais c'est peu mais bon c'est la première scène.
Dernière édition par caliban40280 le Sam 31 Aoû - 12:40, édité 6 fois
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Sujet: Re: Magic Showtime Dim 4 Aoû - 1:37
je tacherais de lire ça alors
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Sujet: Re: Magic Showtime Mar 6 Aoû - 18:19
It's doesn't look bad
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caliban40280
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Sujet: Re: Magic Showtime Sam 24 Aoû - 11:33
Si ça intéresse je mettrai peut être la suite.
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Sujet: Re: Magic Showtime Dim 25 Aoû - 20:03
Ça m'intéresse mets la suite, s'il te plait.
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caliban40280
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Sujet: Re: Magic Showtime Mar 27 Aoû - 13:30
J'ai rechangé un peu la première scène et fini la seconde, par contre je ne pourrai pas tout mettre régulièrement car suis en période recherche emploi et je profite de mon neveu dès que je peux. Au moins ravi que ça plaise à quelqu'un :)
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Sujet: Re: Magic Showtime Mar 27 Aoû - 13:48
Ca e plais, suite vite maintenant
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Sujet: Re: Magic Showtime Mer 28 Aoû - 13:02
Tu devrais changer les couleurs parce que sinon ça défonce les yeux ^^" Merci.
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caliban40280
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Sujet: Re: Magic Showtime Jeu 29 Aoû - 11:58
Et voilà . Première scène modifié lol.
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caliban40280
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Sujet: Re: Magic Showtime Sam 31 Aoû - 12:53
Et voilà la scène numéro deux : (la 1 a été modifié)
SCENE 2 =
Dimanche 21 avril 2013 : 08 heures 12.
*L'action se passe à la terrasse d'un café dans la ville de Chicago (Illinois, ETATS-UNIS). *La terrasse est en bois. Les tables sont rondes, en plastique et de couleur vert-bouteille, même chose pour les chaises. *Le ciel est dégagé sans le moindre nuage. Le soleil est dissimulé par les immeubles derrière le café. La terrasse est donc à l'ombre. Il n'y a pas de vent et il fait bon pour la saison. Près de 16°C. *Hormis les passant, il y a quinze clients. Parmi eux, trois personnages : (tous les 3 ont divers dons magiques.) -Martin WILKINSON : né le samedi 27 septembre 1980 = 32 ans, 6 mois, 3 semaines et 4 jours. Martin est sur les routes depuis environ 13 ans. Voyage en compagnie de July Harrison depuis 1 mois. A rencontré Jackson Flint il y a 3 jours (jeudi 18 avril 2013). Originaire du Maine. >Description : 1m82. 71 kg. Courte barbe de six jours, yeux brun, nez fin, cheveux noir (tignasse importante). Porte un T-shirt noir assez long, un jeans troué au niveau des genoux, des baskets autrefois blanche, mais salies par des années de voyages. >Caractère : calme et posé. Peut se montrer dur si l'occasion l'exige. -July HARRISON : née le mercredi 14 novembre 1990 : 22 ans, 5 mois et 1 semaine. Originaire du Nebraska. A fugué de chez ses parents 1 mois 1/2 auparavant et voyage avec Martin depuis 1 mois. A rencontré Jackson Flint 3 jours auparavant. >Description : 1m63. 47 kg. Rousse, cheveux très long, yeux vert, nez petit et fin, lèvres fines, a des taches de rousseur au niveau des pommettes. Mignonne. Se maquille peu. Déteste néanmoins son teint pâle. Elle porte une robe blanche et des souliers rouge. >Caractère : timide, peur d'elle-même et de ce qu'elle pourrait faire suite à l'apparition de sa magie. Connait la raison qui fait que Martin est sur les routes, elle lui fait tout de même confiance. Amoureuse mais cela ne semble pas réciproque. -Jackson FLINT : né le mercredi 30 janvier 1991 = 22 ans, 2 mois, 3 semaines et 1 jour. Il a toujours vécu à Chicago. Jackson a rencontré les deux autres il y a 3 jours. A "accepté" de voyager avec eux lorsqu'ils quitteront la ville. Membre d'un gang. Afro-américain. >Description : black. 2m03 pour 120 kg. Il est chauve, yeux noir, nez moyen, lèvres moyennes, a une cicatrice le long de l'arcade sourcilière droite. Forte musculature. Jackson porte un T-shirt noir, sans manche, qui épouse la forme de ses muscles, un short-jeans et des baskets Adidas noires. >Caractère : impulsif, il se sent puissant avec sa magie. A savoir que depuis leur rencontre, Martin le considère comme dangereux. *Note : les affaires de Martin et July sont dans leurs chambres d'hôtel. *Tous trois petit-déjeunent sur la terrasse. Cafés pour Martin et July, une bière pour Jackson. Ils ont des croissants. __________________________________________________________________________________
-Jackson : (impatient.) "Alors ? C'est pour quand le grand départ ?" -Martin : (avale une gorgée de café, puis regarde Jackson droit dans les yeux. D'une voix calme.) "J'ai bien peur que ce ne soit pas encore le moment. Le temps ne presse pas Jackson." -July : "On aimerait se reposer quelques temps. Voyager en tentant d'être normal est assez compliqué." -Jackson : (les regarde avec des yeux rond, stupéfié.) "Quoi ? Vous voulez dire que vous assumez pas c'que vous êtes ?" -Martin : (toujours à voix basse.) "Les choses sont plus complexes que tu ne le penses. Par le passé, j'ai eu des accidents avec la magie. Certes, je me contrôle désormais. Mais cela n'a pas toujours été simple pour en arriver à ce stade. En ce qui concerne July, elle est encore novice et je me dois de l'entraîner du mieux que je peux." -Jackson : (vantard, il bonde le torse.) "Tout le monde n'est pas aussi doué que moi." -Martin : (petit sourire. N'élève pas la voix.) "Certes, j'avoue que la maîtrise dont tu fais preuve me surprend beaucoup. En revanche, et au risque de me répéter, c'est avant tout ton comportement qui me dérange."
(Jackson se tend, il serre alors ses poings énorme. Il tente de contrôler sa colère et les tremblements qui secouent son corps.)
-Martin : (poursuit comme si rien ne s'était passé.) "Je sais ce que tu te dis. Qui suis-je donc pour te juger ? Souviens-toi de notre rencontre. Tu t'amusais à incendier un chien. Un jour viendra où cela ne te satisfera plus et tu t'attaqueras aux hommes." -Jackson : (ton arrogant, il sourit de toutes ses dents.) "Qui te dis que c'est pas déjà le cas ?" -Martin : (ne semble pas étonné. Dans le même temps, July fixe Jackson avec dégoût.) "Et après tu oses t'offusquer lorsque je te qualifie de dangereux. Honnêtement, cela risque de remettre en question notre désir de nous installer à Chicago July et moi." -Jackson : (sourit.) "Raison de plus pour quitter cette fichue ville sur le champ. (d'un geste circulaire de la main, Jackson désigne la foule autour d'eux.) Pas envie de passer mon temps à devoir faire un job que je n'aimerai pas juste pour être comme tout le monde. (ton enthousiaste, la voix s'élève.) Nous on vaut mieux qu'eux, nous sommes puissants avec nos pouvoirs."
(Autour d'eux, les autres clients se tournent dans leur direction, les visages montrent la stupeur et la suspicion.)
-Martin : (garde son calme et éclate de rire = tentative de diversion.) "Ha ! Ha ! Ha ! Allons, allons Jackson, nos petits tours ne de passe-passe ne nous permettront jamais de prétendre à assurer de pouvoir faire un show à Las Vegas. (tandis qu'il parle, les gens se désintéressent peu à peu d'eux trois. Martin se penche alors vers Jackson avec un regard dur. Il murmure.) Inutile de crier sur les toits ce dont nous sommes capables. Si tu t'évertues à te comporter de la sorte, je doute fortement qu'au final tu puisses voyager avec July et moi." -Jackson : (regard assassin.) "Ah ouais ?"
(Jackson se tourne alors pour regarder le trottoir de l'autre côté de la rue. Là, deux bennes à ordures prennent subitement feu. Les gens tout près s'écartent brusquement. Ensuite Jackson regarde Martin avec défi, un sourire narquois sur les lèvres. Son but étant de provoquer Martin pour déclencher un duel.)
-Martin : (garde son calme. Il avale une gorgée de café.) "Hmmm, pas mal. Je présume que tu cherchais à m'impressionner." -July : (ton froid, regard dégoûté.) "T'est vraiment quelqu'un de trop immature Jackson. T'as rien à faire avec nous."
(Jackson se lève brusquement, manquant de renverser la table. Le jeune homme tremble de colère, il s'en va ensuite à grands pas. Les gens s'écartent de son chemin.)
-July : "Bon débarras. (fixe Martin avec espoir, tout en souriant.) Et voilà, il ne reste plus que toi et moi. Qu'allons-nous faire ? Rester ou partir ?" -Martin : (pensif.) "Il est vrai que voyager en compagnie d'un tel individu serait risqué pour nous. Toutefois, je pense que s'en aller ne serait peut être pas une bonne idée dans l'immédiat. Je m'inquiète de ce que cet énergumène pourrait provoquer comme dégât, surtout aux autres." -July : (inquiète.) "Avant-hier tu m'as dit qu'il était très puissant. Je ne veux pas que tu l'affrontes." -Martin : (adresse à July un sourire confiant.) "Je te rassure, tu n'as rien à craindre pour moi. Mon expérience me permettra de m'en sortir. Bien que l'affrontement soit une option, pour le moment nous allons garder un oeil sur notre "ami", son tempérament impulsif en fait quelqu'un de très imprévisible et quelque chose me dit que la journée va être longue."
(July hoche la tête en silence. Elle lance un regard inquiet dans la direction prise par le grand black. Martin se contente de terminer son café en silence, fixant les poubelles en feu, tandis que dans le lointain résonnent les sirènes des camions de pompiers.)
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Sujet: Re: Magic Showtime Sam 31 Aoû - 13:54
Première apparition de pouvoir cool
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caliban40280
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Sujet: Re: Magic Showtime Sam 10 Mai - 23:46
SCENE NUMERO TROIS :
DIMANCHE 21 AVRIL 2013 : 08 HEURES 54.
*L'action se passe dans un quartier de la ville de Pittsburgh (Pennsylvanie, ETATS-UNIS) où on trouve une pharmacie, une quincaillerie, un garage, etc. Quartier fictif. *Temps frais, des nuages gris couvrent tout le ciel. Environ 11 °C. L'endroit est contrôlé par un homme qui se nomme Horatio Paolini. *Présence d'un homme dans une voiture. Une Golf noire. -Jeffrey BUCHMAN : né le jeudi 30 mars 1978 = 35 ans, 3 semaines et 1 jour. Ancien marine puis lieutenant pendant la période où il fut en Irak. Rend des services à Paolini pour rembourser ses dettes : environ 50000 $ (dollars). >Description : 1 m 85. 79 kg. Silhouette sportive. Yeux vert, nez fin et pointu, mâchoire carrée. Rasé, odeur d'after-shave. Cheveux court façon militaire. Il est vêtu d'un pul noir épousant sa silhouette, un pantalon noir, en toile qui contient de multiples poches. Il porte également des rangers noire, dans le style militaire. Il plait aux femmes. >Caractère : Calme, il peut se laisser emporter par des accès de colère, pouvant aller jusqu'à devenir menaçant. *La radio est allumée sur la station locale. Jeffrey écoute d'une oreille distraite. __________________________________________________________________________________ -Présentateur radio : (voix enthousiaste puis moins chaleureuse.) "Et oui les amis, c'était la sulfureuse et sexy Rihana avec son tube "diamonds". Allé rendez-vous dans cinq minutes pour les infos où nous reviendrons sur l'événement tragique qui ... ." -Jeffrey BUCHMAN : (baisse le volume, énervé.) "Ferme-la avec tes tragédies à la con."
(Jeffrey pianote sur le volant. Il est fébrile.)
-Jeffrey BUCHMAN : "Qu'est-ce qu'il fout ? Il devrait déjà être là bordel de *bip*."
(Jeffrey regarde dans le rétroviseur extérieur à gauche du véhicule. Un homme vêtu d'une combinaison bleu approche.)
-Jeffrey BUCHMAN : "Enfin te voilà. (Jeffrey pose la main sur la poignet de la portière et semble hésiter.) Allé courage vieux, c'est pas la première fois que je fais ça."
(Jeffrey quitte sa voiture, de la poche arrière de son pantalon il retire des gants en cuir noir, il les enfile et s'approche silencieusement de l'homme. Pascal Collins, 58 ans, garagiste et gérant. L'homme ouvre la porte, look lambda, bedaine.)
-Jeffrey BUCHMAN : (pousse brutalement l'homme dans le bâtiment.) "Rentre à l'intérieur et plus vite que ça."
(petite pièce, bureau du gérant, on y trouve un ordinateur, des étagères comportant des outils, etc.)
-Jeffrey BUCHMAN : (traîne l'homme jusqu'au bureau.) "Bouge un peu ton gros *bip*." -Pascal COLLINS : (effrayé, pâle, a du mal à s'exprimer.) "Que ... . Que me vou ... voulez-vous ?" -Jeffrey BUCHMAN : (ton menaçant.) "T'as merdé Collins, t'as merdé grave comme c'est pas possible." -Pascal COLLINS : (semble comprendre, il se ratatine plus sous la peur.) "Je ... je regrette. Dites à Mr Paolini que je vais lui ... lui rendre ses 20000 $." -Jeffrey BUCHMAN : (voix calme, impression de menace. Jeffrey ramasse une énorme clé à molette.) "L'ennui c'est que tu dois 50000 $ et que ton délais est écoulé. Paolini tient donc à ce que je t'adresse un petit "message" ".
(le gérant blémit. Jeffrey détruit un établit, l'ordinateur. Il s'apprête à frapper Pascal Collins mais hésite. Il pose l'outil et avec son poing il frappe l'autre au ventre. Jeffrey voit alors un enfant de 5 ans qui les regarde, tremblant de peur.)
-Pascal COLLINS : (le souffle coupé.) "Pi ... pitié pas mon petit-fils." -Jeffrey BUCHMAN : (dédaigneux.) "J'm'en fous du gosse. (fait demi-tour.) N'oublie pas, t'as jusqu'à demain pour rembourser ta dette ou cette fois c'est au Russe que tu auras affaire."
(Jeffrey quitte ensuite le bâtiment pour regagner sa voiture.)
SCENE NUMERO QUATRE :
JEUDI 31 AOÛT 2000 : (FLASH-BACK) 21 HEURES 54.
*L'action se passe dans une chambre d'étudiant de l'Université du Vermont dans le ville de Burlington (Vermont, ETATS-UNIS). *Mur et plafond blanc, le sol comporte une moquette bleue-marine. Un lit, un bureau scolaire, un placard, un mini-frigo et une fenêtre qui fait face à l'entrée de la chambre. Bien que la nuit tombe, le volet est encore ouvert. *Temps clair, le ciel est dégagé, la nuit commence à tomber de plus en plus vite et on aperçoit quelques étoiles au travers de la vitre. Température : environ 18 °C. *Martin WILKINSON est allongé sur son lit. >Description : cheveux courts, il a le visage détendu, Martin écoute de la musique, les écouteurs sur les oreilles. Titre : "This land is your land." . Interprète : Sharon Jones. Il porte un jeans gris clair et un vieux T-shirt blanc et a toujours ses baskets noirs aux pieds. >Caractère : Martin a perdu son grand-père il y a plus d'un an, il lui apprenait à maîtriser la magie. Martin ne sait pas encore tout contrôler. Il espère passer inaperçu comme étudiant et reste souvent dans sa chambre en attendant la rentrée. *Marin est donc allongé sur son lit, les mains posés sur l'abdomen, à écouter de la musique. __________________________________________________________________________________ (La porte de la chambre s'ouvre en silence. Quatre personnes entrent à l'intérieur en silence. Quatre étudiants, ils portent un masque blanc à l'expression neutre. Pour le moment les quatres parlent silencieusement.)
-Etudiant 1 : "Doucement les gars, faut pas qu'il nous entende." -Etudiant 2 : (irrité.) "Commence pas à nous casser les couilles, tu vois bien qu'il est complètement dans sa musique. (se penche pour écouter le titre.) De la *bip* apparemment. Pfff mais pourquoi le choisir comme candidat ?" -Etudiant 1 : "Parce que le chef l'a demandé. Alors on fait ce qu'il dit. Ok ? Alors maintenant mets la en veilleuse et va de l'autre côté du lit avec Luke."
(etudiant 2 obtempère et se place à côté de l'étudiant 3, Luke, tandis qu'étudiant 1 prend place à côté d'étudiant 4. Ils continuent à parler à voix basse.)
-Etudiant 1 : "Bon très bien les gars, je compte jusqu'à cinq et on attache ce type. Faut faire vite et pas lui laisser le temps de réagir. Comprit ? -Etudiant 2 : "Ouais tu dis toujours ça mais c'est pas notre première fois, alors relaxe et commence le décompte."
(étudiant 1 sourit, il lève la main droite et commence à décompter de cinq à zéro. A zéro il sert le poing. Etudiant 4 et 3 immobilisent les jambes. Etudiant 2 se charge de maintenir fermement les deux mains. Martin ouvre les yeux, surprit et panique. Toutefois étudiant 1 l'empêche de crier en lui plaçant du ruban adhésif sur les lèvres.)
-Martin WILKINSON : (regard apeuré, tente de s'agiter dans tous les sens pour se libérer.) "Hmmm ! Hmmm !" -Etudiant 2 : (pendant que Martin a les mains attachées. Railleur.) "Quoi ? Qu'est-ce que tu dis ? Bah articule mon pote." -Etudiant 1 : (semble pressé.) "Pas le moment de faire le con bordel. On doit encore rejoindre les autres et trouver le chef alors on bouge et vite."
(Le quatuor place alors Martin debout. Ce dernier reste alors immobile ne sachant pas ce qui l'attend ni si il est en danger.)
-Etudiant 1 : (ton rassurant.) "On te veut pas de mal. T'en fais pas. On va te diriger pour pas que tu te fasses mal, alors suis-nous et t'enfuis pas tu risquerais de te casser la figure."
(etudiant 1 place ensuite une cagoule sur le visage de Martin, le plongeant ainsi dans le noir, suite à quoi les cinq personnes quittent alors la pièce en silence.)
SCENE NUMERO CINQ :
DIMANCHE 21 AVRIL 2013 : 08 HEURES 58.
*L'action se passe dans une vieille usine agro-alimentaire abandonnée depuis des années dans une ancienne zone industrielle près de la ville de Houston (Texas, ETATS-UNIS). Le lieu est fictif.. *Le temps est clair et le soleil commence à monter peu à peu. Quelques nuages blancs parsemment le ciel. Il fait encore doux pour le moment. Environ 16 °C. *L'action débute dans un des vestiaires de l'usine situé deux niveaux en-dessous du rez-de-chaussée. La pièce est rectangulaire et les casiers en font le tour ainsi que des bancs, deux rangées parallèles et dans la longueur est au centre de la pièce. Il y a deux portes, l'une menant vers les différents lieux de l'usine, la seconde vers les douches. La peinture s'est écaillée en grande partie des casiers et des bancs, autrefois bleu pastel. *Le son de l'eau qui coule se fait entendre et on peut apercevoir un nuage de vapeur s'élevait de la salle de douches. *Une personne présente : -Nathan DECKER : né le lundi 15 février 1982 = 31 ans, 2 mois et 6 jours. Sur les routes depuis 14 ans environ. A tué ses parents accidentellement après que son don de pyrokinésie lui échappa ce qui lui fit prendre la fuite. A voyagé quelques temps avec un certain Alexander avec qui il fuyait l'Organisation. (On ne sait pas grand chose sur elle.) A vécu un temps avec un vieil homme qui l'hébergea. Depuis Nathan tente d'échapper à ses ennemis. D'origine Australienne, vit aux USA depuis ses 3 ans. >Description : 1 m 89. Environ 66 kg. Cheveux blond clair et long, attachés en catogan. Visage émacié, nez fin et lèvres fines. Yeux gris clair. Oreilles de taille moyenne, légèrement décollées. Un tic nerveux agite parfois son oeil droit. >Caractère : Contrairement à Martin Wilkinson, Nathan n'espère plus trouver un foyer où pouvoir y vivre. Contrairement à son mentor Alexander, Nathan déteste devoir tuer les personnes qui le traquent. Toutefois les remords disparaissent peu à peu. Nathan a du mal à faire confiance aux gens, évitant les personnes qui sont comme lui lorsqu'il le peut. Se plait souvent dans sa solitude. __________________________________________________________________________________ -Nathan DECKER : (s'essuie après avoir quitté la douche.) "Ah putain que c'est agréable. (il se dirige vers ses affaires posées sur un banc. Là il s'empare des vêtements un à un avant de les enfiler.) Je sens que ça va me plaire cette usine."
(cinq minutes s'écoulent pendant lesquelles Nathan termine de s'habiller. Ensuite, il prend dans son sac à dos une boîte de conserve, des lentilles froides. Nathan commence à mange en silence. Pendant ce temps, plus loin dans l'usine, une dizaine d'hommes sont visibles. Ils se trouvent dans le vestibules. Murs blancs, carrelage à petits carreaux blancs. On peut voir le mot accueil où il manque deux lettres. Le bureau est vide. Les dix hommes portent des tenues noires de combat aux nombreuses poches. Ils ont une cagoule sur le visage et un pistolet-mitrailleur comme arme. On peut voir un mini-pistolet accroché à leur ceinturon avec six flèches hypodermiques. Il s'agit de mercenaires à la solde d'un groupe nommé l'Organisation.)
-Capitaine : "Bon les gars, la cible est ici. Alors faut pas le laisser filer encore une fois entre nos doigts. On va y aller par groupe de deux. Les renforts seront bientôt là mais on peut pas laisser passer l'occasion de le voir s'en tirer. Alors faites pas les cons. Nathan Decker à de l'expérience donc soyez très vigilant."
(Le groupe se divise alors en cinq paires. D'un signe de la main du capitaine, tous se séparent alors dans une direction différente pour fouiller l'usine. On retrouve ensuite Nathan qui termine son repas.)
-Nathan DECKER : (cri de douleur.) "AAAAAAHHHH ! (Nathan laisse tomber la boîte de conserve et se tient le visage entre ses mains.) Bordel de *bip* ils sont là. Bon sang mais qu'ils me fichent la paix."
(Nathan se lève ensuite et regarde en direction du plafond. L'iris de ses yeux vire aux violets et on voit à travers les murs. Toutefois il ne remarque rien.)
-Nathan DECKER : (irrité et perplexe.) "Ils sont pourtant ici je les sens. Me dis pas qu'ils ont fini par trouver comment devenir invisible, ça serait le pompom."
(Nathan reste alors sur place à attendre, faisant apparaître deux sphères d'énergie dorée, une dans chaque main.)
Voilà la suite la prochaine fois si ça intéresse. Oui peu de pouvoirs pour le moment mais que épisode un
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caliban40280
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Sujet: Re: Magic Showtime Sam 17 Mai - 15:05
Bon même si personne ne semble le lire, oui c'est pas de la qualité mais bon voilà quoi, je mets la suite.
SCENE NUMERO SIX :
DIMANCHE 21 AVRIL 2013 : 09 HEURES 39.
*L'action se passe dans une église dans la ville de Chicago (Illinois, ETATS-UNIS). *A l'extérieur, le ciel est toujours dépourvu de nuages et la température n'a pas varié, 16°C. *Il y a environ une dizaine de personnes présentes à l'intérieur du lieu de culte, le Pasteur y comprit. *July HARRISON et Martin WILKINSON sont dans la colonne de gauche, assit dans la dernière rangée, loin de l'autel. July a la tête sur les genoux de Martin et s'est endormie. L'homme écoute ce que dit le Pasteur tout en étant plongé dans ses pensées. __________________________________________________________________________________ -Pasteur : (homme noir d'une cinquantaine d'années, cheveux gris, vêtus d'un pantalon noir et d'une chemise gris clair. Voix haute.) "Peu importe nos différences, l'homme a besoin de rester unis pour que son avenir s'illumine d'un chemin bien meilleur pour lui. Nous ne pouvons nous permettre d'accepter ce qu'il se passe à travers le monde en ce moment, ces guerres incessantes entre nos frères doivent cesser. Le Seigneur ne nous a pas créé à son image pour en arriver à ce point. Aussi ... ." -Jackson FLINT : (s'approche silencieusement de Martin pendant que le Pasteur poursuit son discours. Ton goguenard et à voix haute.) "La vache qu'il est chiant ce type. Non mais qu'est-ce qu'il raconte ce con ? Comme s'il savait quoi qu'ce soit de la vie."
(Plusieurs fidèles se tournent dans la direction du grand gaillard et lance des regards furieux. Jackson éclate de rire avant de faire face à Martin qui le regarde en restant impassible.)
-Martin WILKINSON : (voix calme, bien qu'on peut percevoir une légère tension.) "Que veux-tu Jackson ?" -Jackson FLINT : (hausse les épaules.) "Bah me farcir ta meuf, quoi d'autres ? HA ! HA ! HA ! Non mais sérieux tu vas pas rester là à écouter ce débile et son discours de *bip* ?" -Martin WILKINSON : "J'aimerai que tu répondes à ma question. Et je te demande de cesser tout de suite de manquer de respect à July." -Jackson FLINT : (ton arrogant.) "Sinon quoi ? Tu vas me faire du mal ? Pfff t'es même pas fichu de m'affronter en duel. Donc j'ai rien à craindre d'un type comme toi. (Jackson bande ses muscles pour apparaître encore plus impressionnant ce qui ne semble pas marcher sur Martin. Cela énerve Jackson qui serre les dents tout en parlant avec hargne.) Bon alors ? On s'casse de cette ville oui ou *bip* ?" -Martin WILKINSON : (hausse le sourcil droit, surprit.) "Ah parce que tu penses sincèrement qu'au vu de ton comportement tu peux encore espérer nous accompagner July et moi ? Je n'ai nul envie de m'occuper d'un enfant de cinq ans."
(A cet instant, les flammes des bougies derrière le Pasteur doublent en taille ce qui fait sursauter l'homme qui regarde le phénomène avec étonnement et crainte. Les fidèles sursautent également. Jackson fait propager les flammes vers la tapisserie qui prend alors feu.)
-Martin WILKINSON : (ton vif et précipité.) "Bon très bien tu as gagné, nous partirons d'ici ce soir ou demain matin. Mais cesse donc cela tu veux bien. Je n'ai nul envie que l'on se pose des questions à notre sujet." -Jackson FLINT : (grand sourire qui dévoile ses dents blanches, les flammes disparaissent alors subitement à la surprise général. Ton goguenard.) "Je savais qu't'étais une chiffe molle. Allé à plus, j'ai des derniers trucs à regler moi. Et t'as intérêt à tenir paroles parce que sinon ça va *bip* grave pour des innocents."
(Jackson se lève alors d'un bond et quitte l'église à grand pas après avoir adressé un bras d'honneur en direction du Pasteur. Martin regarde la fumée s'élevait de la tapisserie qui est détruite à moitié.
-Martin WILKINSON : (voix basse.) "Tu as entendu ?" -July HARRISON : (voix douce, parfaitement éveillé, garde les yeux fermés.) "Oui. Alors qu'allons-nous faire ?" -Martin WILKINSON : (ton calme, visage déterminé.) "Il semble que nous n'avons plus le choix. Il va falloir régler le problème que nous pose Jackson." -July HARRISON : (ton peu rassuré.) "Ce qui signifie que nous allons devoir le tuer ?" -Martin WILKINSON : (grimace de dégoût.) "J'espère sincèrement que nous n'en arriverons pas là. Mais oui, si Jackson ne nous laisse pas le choix, j'ai bien peur qu'il nous faudra en parvenir à cette extrémité. Allons partons maintenant. Il nous faut nous préparer à agir le plus vite possible. Car j'ai un mauvais pressentiment sur la suite des événements."
(July hoche alors la tête en silence. Puis tous deux profitent que personne ne les regardent pour se volatiliser.)
SCENE NUMERO SEPT :
DIMANCHE 21 AVRIL 2013 : 09 HEURES 40.
*L'action se passe sur une route dans la ville de Pittsburgh (Pennsylvanie, ETATS-UNIS). *Jeffrey BUCHMAN est dans sa voiture. Après avoir adressé un "message" violent au garagiste, il est parti se garer sur un parking quelques minutes avant de reprendre son trajet. *Les nuages s'assombrissent dans le ciel et une pluie fine commence à tomber sur la ville. Les phares de la voiture sont allumés. Environ 12 °C. *Jeffrey roule normalement. Les mains crispés sur le volant, il semble agité et nerveux. __________________________________________________________________________________ -Jeffrey BUCHMAN : (ton furieux.) "Mais bon sang de *bip* c'était pas censé se passer comme ça. Il lui a prit quoi de prendre son petit-fils avec lui ? Et aujourd'hui en plus."
(Jeffrey continue à conduire. Il semble évident qu'il culpabilise que l'enfant ai assisté à toute la scène. Soudain le téléphone de Jeffrey se met à vibrer. Un numéro masqué s'affiche alors mais Jeffrey semble savoir de qui il s'agit puisqu'il lance un regard assassin au mobile. Un I-phone dernier cri. Jeffrey se gare le long du trottoir, coupe le moteur du véhicule puis décroche pour répondre.)
-Horatio PAOLINI : (ton neutre.) "Alors mon petit Jeffrey, on a décidé de tourner en rond dans la ville ?" -Jeffrey BUCHMAN : (jette des regards circulaire autour de lui à la recherche d'une voiture qui pourrait le suivre mais ne voit rien. Ton énervé.) "Je croyais pourtant avoir été clair, j'accepte de bosser pour vous pour rembourser ma dette et en échange vous me laissez vivre ma vie. Alors si vous tenez à envoyer mes hommes pour m'espionner ... ." -Horatio PAOLINI : (le coupe. Voix froide.) "Tu n'as pas à fixer tes conditions. Ici je commande alors ne tente pas de faire le plus malin avec moi. Et si tu comptes vraiment devenir un de mes hommes de mains, il faudra pour cela apprendre un peu plus ce que le mot "respect" signifie. Pour ce qui est de savoir ce que tu fais, sache que je n'ai nul besoin de mes hommes pour le découvrir. Tu ne peux rien me cacher Jeffrey. Aussi comment s'est passé ta mission de ce matin ?"
(Jeffrey ferme les yeux et serre la mâchoire, à deux doigts d'envoyer promener l'autre. Néanmoins il se calme rapidement pour prendre un ton détaché.)
-Jeffrey BUCHMAN : "Je pense qu'il a comprit que la prochaine fois ça irait encore plus mal pour lui et il va vous payer rapidement désormais." -Horatio PAOLINI : (ton satisfait.) "Très bien, j'attends néanmoins de voir si les résultats seront là. Ta propre dette est quasiment remboursée Jeffrey. Toutefois, sache néanmoins qu'il te reste encore du temps avant de faire partie intégrante de mon groupe et que ma confiance en toi ne t'est pas encore acquise." -Jeffrey BUCHMAN : "Vous m'avez pourtant assurer qu'il en serait ainsi après le message adresser à Collins." -Horatio PAOLINI : (semble s'amuser de la situation.) "Tu ne vas tout de même pas croire que c'est toi qui dirige les événements ? Tu me dois encore bien des services. Tu vas aller de ce pas vers la seconde adresse que je t'ai donné hier soir. Un autre "client" qui me doit une petite fortune et qui pense sottement pouvoir s'en tirer sans que je ne fasse rien contre cela. Et cette fois, je veux récupérer l'argent immédiatement. Suite à quoi, je pourrai éventuellement réfléchir à ton entrée parmi les membres de mon organisation." -Jeffrey BUCHMAN : (hoche la tête en silence tout en semblant réticent à agir.) "Très bien, je ferai comme vous me l'ordonner." -Horatio PAOLINI : (ton satisfait.) "Je n'en attendais pas moins de toi. Je te recontacterai dans une heure. Tâche d'avoir des résultats. Car n'oublie pas que je sais tout sur toi et ta famille Jeffrey."
(Horatio Paolini raccroche. Jeffrey lance un nouveau regard assassin en direction du cellulaire.)
-Jeffrey BUCHMAN : (ton ironique qui devient furieux.) "Bien entendu boss, je vais faire ce que vous ordonner. Comme toujours. N'empêche ça commence à m'énerver votre façon de me faire tourner en bourrique. (Jeffrey met le moteur en route et s'apprête à redémarrer lorsque le téléphone vibre à nouveau. Cette fois le mot "Mother" s'affiche sur l'écran. Jeffrey paraît alors beaucoup plus énervé que précédemment. Il décroche.) Quoi ? -Margareth BUCHMAN : (voix légèrement aigüe, signe de bonne éducation.) "Je vous prie de prendre un autre ton avec moi mon fils. Ce n'est pas une façon de s'adresser à moi." -Jeffrey BUCHMAN : (ferme les yeux pour se calmer, visage crispé.) "J'ai pas le temps de vous parler ma mère. J'ai autre chose à faire que de vous écouter." -Margareth BUCHMAN : "Je ne vous le demanderai pas plusieurs fois. J'attends votre visite sur le champ. Je dois vous parler d'une chose extrèmement importante et votre présence est requise. Tâchez de ne pas me décevoir encore une fois."
(La femme raccroche alors. Jeffrey lance un flot de jurons alors tout en frappant du poing sur le volant. Il enclenche alors la marche avant et fait demi-tour. Aussitôt, un 4X4 Mercedes ML 500 de couleur noir, se met à suivre le véhicule de Jeffrey.)
SCENE NUMERO HUIT :
JEUDI 31 AOÛT 2000 : (FLASH-BACK) 22 HEURES 16.
*L'action se passe sur la pelouse de l'Université de Vermont à Burlington (Illinois, ETATSUNIS). Il y a quinze personnes présentes. Douze individus vêtus à présent d'une toge noir et portant encore un masque blanc à l'expression neutre, plus trois autres qui sont cagoulés, Martin WILKINSON inclus. *La nuit est tombée et la température aussi, environ 16 °C. Un vent frais souffle légèrement. Les étoiles commencent à être de plus en plus nombreuses dans le ciel. *Le groupe se dirige vers un autre groupe composé de neuf individus. Tous portent la même toge, huit ont le même masque et l'un porte un masque façon V de Vendetta. C'est le leader de la Confrérie des étudiants et s'appelle Daniel STEPHENS (24 ans). En arrière plan, on peut voir le début d'une forêt. __________________________________________________________________________________ (tandis que le groupe progresse à la rencontre des neuf gars, on entend des gémissements s'élevaient de deux des trois individus ligotés.) -Etudiant 2 : (irrité.) "Bon sang mais cessez de faire les gamins. Vous risquez que dalle à la fin." -Etudiant 1 : (moqueur.) "Allons t'énerve pas vieux, tu sais très bien que toi aussi t'a flippé quand Finn et moi t'avons "capturé" il y a deux ans." -Etudiant 2 : (vexé, ton énervé.) "Ouais c'est ça vas-y fais moi passer pour un pédé. Sale enfoiré j'te jure que tu me payeras ça. En attendant j'en ai ma claque de devoir jouer la nounou pour ses cons. Vivement qu'on passe aux choses sérieuses." -Etudiant 1 : "Tu sais très bien qu'ils doivent d'abord passer par l'épreuve."
(Les quinze étudiants finissent par arriver à hauteur des neuf autres. Martin et les deux autres "captifs" sont forcés de s'arrêter. Martin reste droit comme un "I", les mains croisés dans le dos, il attend de voir comment les choses évoluent. On peut alors voir qu'à travers le bandeau l'iris de ses yeux est de couleur violet, comme pour Nathan dans la scène 5. On voit alors à travers les yeux de Martin. Les étudiants ressemblent à des silhouettes fantomatiques tandis que le décor autour d'eux parait être visible à travers une sorte de ce qu'on peut voir au-dessus d'un feu. (trouver meilleur explication.)
-Daniel STEPHENS : (s'avance d'un pas. Ton hautain et traînant.) "Enfin vous voilà, vous en avez mit du temps." -Etudiant 2 : (désigne les "captifs" d'un signe de la tête.) "Tous n'ont pas été coopératif. En tout cas, (montre Martin d'un autre signe de tête.) celui-là me semble bien calme. Pas comme les autres." -Daniel STEPHENS : (ton satisfait.) "Un candidat potentiel. Bien, mettez les à genoux et retirez leur les cagoules. Je vais leur parler."
(les membres de la Confrérie des Etudiants placent Martin et les deux autres à genoux avant de leur retirer les cagoules. Les yeux de Martin sont redevenus brun. On détache ensuite les mains des candidats. Daniel Stephens s'approche et les regarde avec un air de suffisance.)
-Daniel STEPHENS : (ton pompeux.) "Bienvenue à vous trois. Vous avez eu le privilège d'avoir été tiré au sort pour participer à notre petit jeu nocturne. Non loin de là se trouve une vieille maison abandonnée qui nous sert de lieu de rendez-vous. Ce soir en revanche, elle sera le terrain de notre petite partie. A l'intérieur de la demeure se trouve trois parchemins. Ils sont cachés dans différentes pièces et il vous faut mettre la main dessus. Celui d'entre vous qui en trouvera le plus aura (accentue le mot) l'Enorme privilège de faire partie de notre Confrérie. (ton fier.) Elle existe depuis plus de cent ans et bon nombre d'illustres personnes en a fait partie. Alors tâchez de faire en sorte de respectez le fait qu'il est honorifique d'en faire partie. Pour les deux autres, (ton cruel, sourire mauvais derrière le masque.) Je peux vous affirmer que le temps que durera vos études, votre vie va devenir un enfer. Vous subirez des humiliations et tout ce qui me traversera l'esprit."
(Les membres de la Confrérie éclate de rire. Martin les fixe tour à tour. Il ressent la nervosité de certains et la peur des deux types à ses côtés. Daniel Stephens leur montre alors une petite table où sont posés trois lampes torches. Les deux étudiants en compétition avec Martin s'élance alors pour en prendre chacun une avant de s'élancer dans la direction que leur indique Daniel Stephens.)
-Martin WILKINSON : (pousse un soupir résigné. Murmure.) "Et voilà, je sens que ce n'est pas encore maintenant que je réussirai à passer inaperçu."
(Martin s'élance ensuite à la suite des autres sous le regard satisfait de Daniel Stephens.)
L'épisode un comporte 16 scènes au total.
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caliban40280
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Sujet: Re: Magic Showtime Sam 17 Mai - 15:13
Bon même si personne ne semble le lire, oui c'est pas de la qualité mais bon voilà quoi, je mets la suite.
SCENE NUMERO SIX :
DIMANCHE 21 AVRIL 2013 : 09 HEURES 39.
*L'action se passe dans une église dans la ville de Chicago (Illinois, ETATS-UNIS). *A l'extérieur, le ciel est toujours dépourvu de nuages et la température n'a pas varié, 16°C. *Il y a environ une dizaine de personnes présentes à l'intérieur du lieu de culte, le Pasteur y comprit. *July HARRISON et Martin WILKINSON sont dans la colonne de gauche, assit dans la dernière rangée, loin de l'autel. July a la tête sur les genoux de Martin et s'est endormie. L'homme écoute ce que dit le Pasteur tout en étant plongé dans ses pensées. __________________________________________________________________________________ -Pasteur : (homme noir d'une cinquantaine d'années, cheveux gris, vêtus d'un pantalon noir et d'une chemise gris clair. Voix haute.) "Peu importe nos différences, l'homme a besoin de rester unis pour que son avenir s'illumine d'un chemin bien meilleur pour lui. Nous ne pouvons nous permettre d'accepter ce qu'il se passe à travers le monde en ce moment, ces guerres incessantes entre nos frères doivent cesser. Le Seigneur ne nous a pas créé à son image pour en arriver à ce point. Aussi ... ." -Jackson FLINT : (s'approche silencieusement de Martin pendant que le Pasteur poursuit son discours. Ton goguenard et à voix haute.) "La vache qu'il est chiant ce type. Non mais qu'est-ce qu'il raconte ce con ? Comme s'il savait quoi qu'ce soit de la vie."
(Plusieurs fidèles se tournent dans la direction du grand gaillard et lance des regards furieux. Jackson éclate de rire avant de faire face à Martin qui le regarde en restant impassible.)
-Martin WILKINSON : (voix calme, bien qu'on peut percevoir une légère tension.) "Que veux-tu Jackson ?" -Jackson FLINT : (hausse les épaules.) "Bah me farcir ta meuf, quoi d'autres ? HA ! HA ! HA ! Non mais sérieux tu vas pas rester là à écouter ce débile et son discours de *bip* ?" -Martin WILKINSON : "J'aimerai que tu répondes à ma question. Et je te demande de cesser tout de suite de manquer de respect à July." -Jackson FLINT : (ton arrogant.) "Sinon quoi ? Tu vas me faire du mal ? Pfff t'es même pas fichu de m'affronter en duel. Donc j'ai rien à craindre d'un type comme toi. (Jackson bande ses muscles pour apparaître encore plus impressionnant ce qui ne semble pas marcher sur Martin. Cela énerve Jackson qui serre les dents tout en parlant avec hargne.) Bon alors ? On s'casse de cette ville oui ou *bip* ?" -Martin WILKINSON : (hausse le sourcil droit, surprit.) "Ah parce que tu penses sincèrement qu'au vu de ton comportement tu peux encore espérer nous accompagner July et moi ? Je n'ai nul envie de m'occuper d'un enfant de cinq ans."
(A cet instant, les flammes des bougies derrière le Pasteur doublent en taille ce qui fait sursauter l'homme qui regarde le phénomène avec étonnement et crainte. Les fidèles sursautent également. Jackson fait propager les flammes vers la tapisserie qui prend alors feu.)
-Martin WILKINSON : (ton vif et précipité.) "Bon très bien tu as gagné, nous partirons d'ici ce soir ou demain matin. Mais cesse donc cela tu veux bien. Je n'ai nul envie que l'on se pose des questions à notre sujet." -Jackson FLINT : (grand sourire qui dévoile ses dents blanches, les flammes disparaissent alors subitement à la surprise général. Ton goguenard.) "Je savais qu't'étais une chiffe molle. Allé à plus, j'ai des derniers trucs à regler moi. Et t'as intérêt à tenir paroles parce que sinon ça va *bip* grave pour des innocents."
(Jackson se lève alors d'un bond et quitte l'église à grand pas après avoir adressé un bras d'honneur en direction du Pasteur. Martin regarde la fumée s'élevait de la tapisserie qui est détruite à moitié.
-Martin WILKINSON : (voix basse.) "Tu as entendu ?" -July HARRISON : (voix douce, parfaitement éveillé, garde les yeux fermés.) "Oui. Alors qu'allons-nous faire ?" -Martin WILKINSON : (ton calme, visage déterminé.) "Il semble que nous n'avons plus le choix. Il va falloir régler le problème que nous pose Jackson." -July HARRISON : (ton peu rassuré.) "Ce qui signifie que nous allons devoir le tuer ?" -Martin WILKINSON : (grimace de dégoût.) "J'espère sincèrement que nous n'en arriverons pas là. Mais oui, si Jackson ne nous laisse pas le choix, j'ai bien peur qu'il nous faudra en parvenir à cette extrémité. Allons partons maintenant. Il nous faut nous préparer à agir le plus vite possible. Car j'ai un mauvais pressentiment sur la suite des événements."
(July hoche alors la tête en silence. Puis tous deux profitent que personne ne les regardent pour se volatiliser.)
SCENE NUMERO SEPT :
DIMANCHE 21 AVRIL 2013 : 09 HEURES 40.
*L'action se passe sur une route dans la ville de Pittsburgh (Pennsylvanie, ETATS-UNIS). *Jeffrey BUCHMAN est dans sa voiture. Après avoir adressé un "message" violent au garagiste, il est parti se garer sur un parking quelques minutes avant de reprendre son trajet. *Les nuages s'assombrissent dans le ciel et une pluie fine commence à tomber sur la ville. Les phares de la voiture sont allumés. Environ 12 °C. *Jeffrey roule normalement. Les mains crispés sur le volant, il semble agité et nerveux. __________________________________________________________________________________ -Jeffrey BUCHMAN : (ton furieux.) "Mais bon sang de *bip* c'était pas censé se passer comme ça. Il lui a prit quoi de prendre son petit-fils avec lui ? Et aujourd'hui en plus."
(Jeffrey continue à conduire. Il semble évident qu'il culpabilise que l'enfant ai assisté à toute la scène. Soudain le téléphone de Jeffrey se met à vibrer. Un numéro masqué s'affiche alors mais Jeffrey semble savoir de qui il s'agit puisqu'il lance un regard assassin au mobile. Un I-phone dernier cri. Jeffrey se gare le long du trottoir, coupe le moteur du véhicule puis décroche pour répondre.)
-Horatio PAOLINI : (ton neutre.) "Alors mon petit Jeffrey, on a décidé de tourner en rond dans la ville ?" -Jeffrey BUCHMAN : (jette des regards circulaire autour de lui à la recherche d'une voiture qui pourrait le suivre mais ne voit rien. Ton énervé.) "Je croyais pourtant avoir été clair, j'accepte de bosser pour vous pour rembourser ma dette et en échange vous me laissez vivre ma vie. Alors si vous tenez à envoyer mes hommes pour m'espionner ... ." -Horatio PAOLINI : (le coupe. Voix froide.) "Tu n'as pas à fixer tes conditions. Ici je commande alors ne tente pas de faire le plus malin avec moi. Et si tu comptes vraiment devenir un de mes hommes de mains, il faudra pour cela apprendre un peu plus ce que le mot "respect" signifie. Pour ce qui est de savoir ce que tu fais, sache que je n'ai nul besoin de mes hommes pour le découvrir. Tu ne peux rien me cacher Jeffrey. Aussi comment s'est passé ta mission de ce matin ?"
(Jeffrey ferme les yeux et serre la mâchoire, à deux doigts d'envoyer promener l'autre. Néanmoins il se calme rapidement pour prendre un ton détaché.)
-Jeffrey BUCHMAN : "Je pense qu'il a comprit que la prochaine fois ça irait encore plus mal pour lui et il va vous payer rapidement désormais." -Horatio PAOLINI : (ton satisfait.) "Très bien, j'attends néanmoins de voir si les résultats seront là. Ta propre dette est quasiment remboursée Jeffrey. Toutefois, sache néanmoins qu'il te reste encore du temps avant de faire partie intégrante de mon groupe et que ma confiance en toi ne t'est pas encore acquise." -Jeffrey BUCHMAN : "Vous m'avez pourtant assurer qu'il en serait ainsi après le message adresser à Collins." -Horatio PAOLINI : (semble s'amuser de la situation.) "Tu ne vas tout de même pas croire que c'est toi qui dirige les événements ? Tu me dois encore bien des services. Tu vas aller de ce pas vers la seconde adresse que je t'ai donné hier soir. Un autre "client" qui me doit une petite fortune et qui pense sottement pouvoir s'en tirer sans que je ne fasse rien contre cela. Et cette fois, je veux récupérer l'argent immédiatement. Suite à quoi, je pourrai éventuellement réfléchir à ton entrée parmi les membres de mon organisation." -Jeffrey BUCHMAN : (hoche la tête en silence tout en semblant réticent à agir.) "Très bien, je ferai comme vous me l'ordonner." -Horatio PAOLINI : (ton satisfait.) "Je n'en attendais pas moins de toi. Je te recontacterai dans une heure. Tâche d'avoir des résultats. Car n'oublie pas que je sais tout sur toi et ta famille Jeffrey."
(Horatio Paolini raccroche. Jeffrey lance un nouveau regard assassin en direction du cellulaire.)
-Jeffrey BUCHMAN : (ton ironique qui devient furieux.) "Bien entendu boss, je vais faire ce que vous ordonner. Comme toujours. N'empêche ça commence à m'énerver votre façon de me faire tourner en bourrique. (Jeffrey met le moteur en route et s'apprête à redémarrer lorsque le téléphone vibre à nouveau. Cette fois le mot "Mother" s'affiche sur l'écran. Jeffrey paraît alors beaucoup plus énervé que précédemment. Il décroche.) Quoi ? -Margareth BUCHMAN : (voix légèrement aigüe, signe de bonne éducation.) "Je vous prie de prendre un autre ton avec moi mon fils. Ce n'est pas une façon de s'adresser à moi." -Jeffrey BUCHMAN : (ferme les yeux pour se calmer, visage crispé.) "J'ai pas le temps de vous parler ma mère. J'ai autre chose à faire que de vous écouter." -Margareth BUCHMAN : "Je ne vous le demanderai pas plusieurs fois. J'attends votre visite sur le champ. Je dois vous parler d'une chose extrèmement importante et votre présence est requise. Tâchez de ne pas me décevoir encore une fois."
(La femme raccroche alors. Jeffrey lance un flot de jurons alors tout en frappant du poing sur le volant. Il enclenche alors la marche avant et fait demi-tour. Aussitôt, un 4X4 Mercedes ML 500 de couleur noir, se met à suivre le véhicule de Jeffrey.)
SCENE NUMERO HUIT :
JEUDI 31 AOÛT 2000 : (FLASH-BACK) 22 HEURES 16.
*L'action se passe sur la pelouse de l'Université de Vermont à Burlington (Illinois, ETATSUNIS). Il y a quinze personnes présentes. Douze individus vêtus à présent d'une toge noir et portant encore un masque blanc à l'expression neutre, plus trois autres qui sont cagoulés, Martin WILKINSON inclus. *La nuit est tombée et la température aussi, environ 16 °C. Un vent frais souffle légèrement. Les étoiles commencent à être de plus en plus nombreuses dans le ciel. *Le groupe se dirige vers un autre groupe composé de neuf individus. Tous portent la même toge, huit ont le même masque et l'un porte un masque façon V de Vendetta. C'est le leader de la Confrérie des étudiants et s'appelle Daniel STEPHENS (24 ans). En arrière plan, on peut voir le début d'une forêt. __________________________________________________________________________________ (tandis que le groupe progresse à la rencontre des neuf gars, on entend des gémissements s'élevaient de deux des trois individus ligotés.) -Etudiant 2 : (irrité.) "Bon sang mais cessez de faire les gamins. Vous risquez que dalle à la fin." -Etudiant 1 : (moqueur.) "Allons t'énerve pas vieux, tu sais très bien que toi aussi t'a flippé quand Finn et moi t'avons "capturé" il y a deux ans." -Etudiant 2 : (vexé, ton énervé.) "Ouais c'est ça vas-y fais moi passer pour un pédé. Sale enfoiré j'te jure que tu me payeras ça. En attendant j'en ai ma claque de devoir jouer la nounou pour ses cons. Vivement qu'on passe aux choses sérieuses." -Etudiant 1 : "Tu sais très bien qu'ils doivent d'abord passer par l'épreuve."
(Les quinze étudiants finissent par arriver à hauteur des neuf autres. Martin et les deux autres "captifs" sont forcés de s'arrêter. Martin reste droit comme un "I", les mains croisés dans le dos, il attend de voir comment les choses évoluent. On peut alors voir qu'à travers le bandeau l'iris de ses yeux est de couleur violet, comme pour Nathan dans la scène 5. On voit alors à travers les yeux de Martin. Les étudiants ressemblent à des silhouettes fantomatiques tandis que le décor autour d'eux parait être visible à travers une sorte de ce qu'on peut voir au-dessus d'un feu. (trouver meilleur explication.)
-Daniel STEPHENS : (s'avance d'un pas. Ton hautain et traînant.) "Enfin vous voilà, vous en avez mit du temps." -Etudiant 2 : (désigne les "captifs" d'un signe de la tête.) "Tous n'ont pas été coopératif. En tout cas, (montre Martin d'un autre signe de tête.) celui-là me semble bien calme. Pas comme les autres." -Daniel STEPHENS : (ton satisfait.) "Un candidat potentiel. Bien, mettez les à genoux et retirez leur les cagoules. Je vais leur parler."
(les membres de la Confrérie des Etudiants placent Martin et les deux autres à genoux avant de leur retirer les cagoules. Les yeux de Martin sont redevenus brun. On détache ensuite les mains des candidats. Daniel Stephens s'approche et les regarde avec un air de suffisance.)
-Daniel STEPHENS : (ton pompeux.) "Bienvenue à vous trois. Vous avez eu le privilège d'avoir été tiré au sort pour participer à notre petit jeu nocturne. Non loin de là se trouve une vieille maison abandonnée qui nous sert de lieu de rendez-vous. Ce soir en revanche, elle sera le terrain de notre petite partie. A l'intérieur de la demeure se trouve trois parchemins. Ils sont cachés dans différentes pièces et il vous faut mettre la main dessus. Celui d'entre vous qui en trouvera le plus aura (accentue le mot) l'Enorme privilège de faire partie de notre Confrérie. (ton fier.) Elle existe depuis plus de cent ans et bon nombre d'illustres personnes en a fait partie. Alors tâchez de faire en sorte de respectez le fait qu'il est honorifique d'en faire partie. Pour les deux autres, (ton cruel, sourire mauvais derrière le masque.) Je peux vous affirmer que le temps que durera vos études, votre vie va devenir un enfer. Vous subirez des humiliations et tout ce qui me traversera l'esprit."
(Les membres de la Confrérie éclate de rire. Martin les fixe tour à tour. Il ressent la nervosité de certains et la peur des deux types à ses côtés. Daniel Stephens leur montre alors une petite table où sont posés trois lampes torches. Les deux étudiants en compétition avec Martin s'élance alors pour en prendre chacun une avant de s'élancer dans la direction que leur indique Daniel Stephens.)
-Martin WILKINSON : (pousse un soupir résigné. Murmure.) "Et voilà, je sens que ce n'est pas encore maintenant que je réussirai à passer inaperçu."
(Martin s'élance ensuite à la suite des autres sous le regard satisfait de Daniel Stephens.)
L'épisode un comporte 16 scènes au total.
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Yumi
Brain Talkeur
Sujet: Re: Magic Showtime Sam 17 Mai - 16:52
J'aime bien. Ca m'intéresse. Dépêche-toi de poster la suite Papy Caliban !
ϟ Messages : 5907
Sundark
Serial Watcheur
Sujet: Re: Magic Showtime Jeu 22 Mai - 19:18
Sur tes 3 derniers postes je viens de finir que le premier. Y'a beaucoup à lire mais déjà c'est pas mal. Les émotions et caractères sont bien présenter. J'en dirais plus quand j'aurais fini les deux autres.
ϟ Messages : 5907
Sundark
Serial Watcheur
Sujet: Re: Magic Showtime Jeu 22 Mai - 22:48
Viens de finir le deuxième topic. C'est pas mal, un scénario bien écrit pour l'instant, mais ca ne me donne pas envie de m'inscrire dans une confrérie lol
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Sujet: Re: Magic Showtime
Magic Showtime
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